59 ans après l’indépendance politique, le Burundi chemine vers son indépendance économique et le renforcement des pratiques démocratiques
Depuis l’accession à son indépendance, le Burundi a connu des périodes troubles qui ont plongé le pays dans un chaos pendant 40ans. Mais depuis 2005 avec l’élection de Son Excellence Feu Pierre Nkurunziza à la tête du pays, les burundais ont enfin soupiré et se sont reposés de tous les maux qu’ils avaient eus à subir et ont pu vivre paisiblement dans leur pays. La politique de Son Excellence Feu Pierre Nkurunziza a mis en avant le citoyen burundais. Il a œuvré pour améliorer la vie du citoyen et du pays. Compte tenu des travaux déjà effectués, son successeur Son Excellence Evariste Ndayishimiye tient à perpétuer cette politique de développement et nul ne doute de l’amélioration des conditions de vie des citoyens burundais.
Après 59 ans d’indépendance, les citoyens burundais vivent dans une période de renforcement du processus de développement entrepris depuis 2005, début de la renaissance du Burundi, après le combat de la restauration des institutions démocratiques qui avaient été renversées par un putsch militaire en 1993.
Dans cette perspective d’une lutte engagée pour le développement, Son Excellence Feu Président Pierre Nkurunziza avec son slogan Dusenga Dukora Dukora Dusenga (Prions et travaillons, travaillons Prions, tl) a posé les bases du développement communautaire durable. Avec l’avènement au pouvoir de son Excellence Evariste Ndayishimiye avec ses slogans : Turikumwe twese birashoboka (Ensemble, tout est possible, tl) et «Umunwa wose uronke ico urya umufuko wose uronke amahera (que chaque bouche ait à manger et chaque poche ait de l’argent, tl », il continue la politique de son prédécesseur en matérialisant les attentes de la population. Il fait de la lutte contre la pauvreté sa priorité et cet effort mènera vers l’indépendance économique réelle du Burundi.
Aucun pays, aussi puissant soit-il, ne peut vivre seul. Le développement dépend des investisseurs tant nationaux qu’étrangers. Comme tout Etat indépendant et souverain, le Burundi s’engage librement pour la coopération par pacte consensuel basé sur les principes de respect mutuel et des partenariats qui ne compromettent pas la stabilité du pays.
Pour le développement durable et le fonctionnement effectif des institutions démocratiques, la bataille concerne tout citoyen burundais. Personne n’est écarté. Même s’il y a certains burundais qui croient que Burundi est incapable de s’organiser sans ingérence extérieure pour son propre développement, l’histoire de nos ancêtres prouvent le contraire et montre bel et bien que les burundais ont toujours été dynamiques et organisés. Ils ont pu organiser le pays pendant des siècles et l’ont porté à ses périodes d’hégémonie.
Dans son article 2, la constitution du Burundi de 2018 stipule que le territoire national du Burundi est inaliénable et indivisible. Aucun citoyen ne peut céder le pays de ses ancêtres contre les aides étrangères. Même les étrangers ne peuvent pas céder leur patrie aux burundais.
C’est à chaque génération de garder le calme et de sauvegarder la paix, la sécurité, la démocratie et de s’atteler au développement.
Un pays démocratique doit être régi par : le respect des élections démocratiques, de l’alternance pacifique au pouvoir et du mandat constitutionnel des institutions démocratiquement élues. Cela constitue le droit du peuple à l’autodétermination. Toute violation de ce principe peut faire répéter les conflits qui ont endeuillé le Burundi pendant des décennies.
Pour conclure le peuple burundais aspire à la paix et s’est engagé dans une lutte contre la pauvreté. Sous le leadership de Son Excellence Evariste Ndayishimiye, le Burundi compte renforcer l’indépendance économique en s’appuyant sur le développement communautaire.
Honneur et gloire à tous les burundais qui restent fidèles aux principes de la paix, de la sécurité et de la démocratie pour le développement du pays.