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QUE CACHENT CERTAINS RAPPORTS ONUSIENS SUR LE BURUNDI ?

Au lendemain  de l’annonce de la candidature de son Excellence Monsieur Pierre NKURUNZIZA aux élections présidentielles de 2015, certains partis politiques de l’opposition, certains acteurs politiques et autres activistes se réclamant de la société civile appuyés par certains pays de l’occident ont entamé des manifestations sous le vocable  «  halte au troisième mandat  » . Ces manifestations qui, au départ, se prétendaient être pacifiques ont progressivement pris l’allure d’une insurrection violente accompagnée d’une série d’actes de cruauté et de barbarie.


Malheureusement, les auteurs de ces sauvageries, après avoir tenté et échoué le Coup d’État du 13 mai 2015, ont été chaleureusement accueillis et hébergés par certains pays entre autre le Rwanda et Belgique d’où ils continuent sans succès d’inciter le peuple Burundais à la division et à la haine bien qu’ils soient recherchés par la justice burundaise.

Après tous ces échecs, une campagne de diabolisation par propagation des rumeurs, faisant état de violations des droits de l’homme au Burundi à base desquelles furent formulés certains rapports abusifs par des organisations et commissions des Nations Unies sans une moindre vérification, a été instaurée comme moyen de recours. Une avalanche de résolutions controversées ont été votées, à titre d’exemple la résolution onusienne sur le Burundi S-24/1 du 17 décembre 2015, la résolusion 2303 du 29 juillet 2016 autorisant le déploiement de 228 policiers des Nations Unies pour une période d’un an ainsi que  la résolution 33/24 du 30 septembre 2016 mettant en place une commission d’enquête sur le Burundi.

La plupart de ces rapports ont été élaborés à partir des témoignages recueillies via les réseaux sociaux (notamment whatsapp et facebook). Quelques officiers hauts gradés des corps de défense et de sécurité et la jeunesse IMBONERAKURE (Ligue des jeunes du parti CNDD-FDD) ont été injustement accusés des violations de droits humains. L’union Européenne et les USA sont allés jusqu’à décréter des sanctions (refus de visa, gel des avoirs…).

Une policière séquestrée par les insurgés

Des actes terroristes (enlèvements, assassinats ciblés, jets de grenades, tuerie et exposition des cadavres sur les voies publiques…) perpétrés par des insurgés déguisés en tenue militaire ou policière ont été confirmés par des insurgés attrapés et certains de leurs leaders. Tous ces cas n’apparaissent nulle part dans ces rapports onusiens, ce qui laisse penser que leur but est de protéger les commanditaires de ces forfaits et autres actes de barbarie commis durant l’insurrection.

Malgré les efforts fournis par le gouvernement de la République du Burundi dans la consolidation de la paix et la sécurité, certaines organisations internationales et d’autres personnalités continuent de ternir l’image du Burundi. Les exemples les plus probants sont les propos vexatoires du haut commissaire aux droits de l’homme Zeid-Raad-Al-Hussein qualifiant le Burundi d’un « abattoir des humains » au moment où la paix règne sur toutes les collines du pays et le fallacieux rapport de la Fédération Internationale de la Défense des droits de l’Homme (FIDH) du 23 février 2018.

Force est de conclure que ces rapports s’inscrivent dans la logique de continuité des révolutions de couleurs déclenchées dans plusieurs pays (Tunisie, Ukraine,…)  dont le but était le renversement des institutions démocratiquement élues. Plutôt prétexte qu’une cause, les détracteurs ont voulu se servir de pont la candidature de Son Excellence Pierre NKURUNZIZA pour parvenir à leurs objectifs de détruire le Burundi ainsi que la démocratie, à commencer par le parti CNDD-FDD.

Les opinions exprimées dans ce contenu n’engagent que la responsabilité de ses auteurs.

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2 Comments

  1. L’ ideologie de certains partis politiques Burundais se basait sur les perspectives des Pays Europeens pour profiter la richese du pays n’ ont pas pour le bien etre de la population Burundaise alors que c’ est le contraire du plan ideologique CNDD. FDD .

  2. On a tout vu et compris…les détracteurs ont voulu enterrer la démocratie qui a été chèrement acquise par le peuple Burundais mais comme on a suffisamment vécu des affres de la guerre,on a été, on est et on sera toujours sur le qui-vive pour défier tout usurpateur contre la paix pour laquelle le peuple Burundais lutté durant de longues décennies. Au Burundi,depuis l’assassinat du Prince Louis Rwagasore il y a des gens qui ont toujours voulu diriger le pays sans la volonté du peuple…et pour ce faire, ont ligoté tout un peuple. Dans quel parti se sont casés les PDC?…exactement qu’ils ont envahi l’Uprona et ont rythmé les différents coup sanglants dont ont été victime le peuple depuis la longueur des temps. En 1993, le premier Président démocratiquement a été sauvagement assassiné par l’armée mono-ethnique et d’autres civils qui voulaient garder la gestion de l’Etat dans leurs mains au détriment de la volonté du peuple… Ainsi,ce qui s’est passé en 2015 n’est que la continuité de cette nostalgie du pouvoir…cette barbarie incommensurable n’est la continuité des vieux démons qui s’étaient en peu endormi…les temps ne sont pas les mêmes et le peuple a tout découvert…que l’occident active ses marionnettes, on n’acceptera jamais de revivre le cauchemar… le CNDD-FDD est venu pour tisser le s liens entre les Barundi n’en déplaisent le colonisateur. pacifique nininahazwe,sinduhije,mbonimpa,vitali et acolytes,instigateurs du fameux mouvement terroriste sindumuja n’ont qu’à se courber devant le peuple et reconnaître qu’ils ont fallu…

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